● 150 professionnels de la santé, 70 personnes (travailleurs sociaux, personnel judiciaire, forces de sécurité et de défense, membres d'ONG), et 200 praticiens communautaires de la santé et sages-femmes traditionnelles ont été formés à la gestion de la violence sexiste et de la santé reproductive
● 5 hôpitaux régionaux/généraux ont été rénovés et équipés
● 56 centres de santé ont été équipés en matériel et fournitures médicaux et aménagements de santé reproductive
● 5 centres sociaux ont été rénovés et équipés afin de dispenser une aide psychosociale aux victimes de la violence sexiste
● 5 plateformes de couverture des cas de violence sexiste et de grossesses non désirées ont été installées dans les cinq départements (Mankono, Séguéla, Danané, Toulepleu et Touba). Ces cadres de collaboration ont facilité la synergie des actions des acteurs (professionnels de la santé, travailleurs sociaux, agents de police, agents de la justice et membres d'ONG).
● Au moins 450 victimes de violence sexiste ont été recensées et gérées
● 174 victimes de violence sexiste et des grossesses non désirées ont reçu un soutien à la mise en oeuvre d'activités commerciales (vente de riz, vente de poisson salé, vente de savon, etc.). Le système de démarrage renouvelable permettra de reconstituer le capital initial et de soutenir de nouveaux bénéficiaires.
● 606 femmes, au lieu des 480 prévues, âgées de 15 à 68 ans ont été alphabétisées
● Au moins 9 038 personnes, dont 2 211 hommes, ont été sensibilisées aux droits des femmes
● 52 praticiennes des mutilations génitales féminines ont été sensibilisées et réinsérées dans des groupes de femmes destinés à la mise en oeuvre d'activités génératrices de revenus
● 108 regroupements de 11 362 femmes ont reçu un soutien à la production d'articles de poterie et à l'exploitation de 40 hectares de piments, 122 hectares de manioc, 2 hectares d'arachides, 192 hectares de riz pluvial et 90 hectares de maïs. La dynamique enclenchée par le soutien à des associations de femmes a non seulement facilité l'abandon de l'excision, mais a aussi augmenté le nombre d'associations de 38 % en moyennes
● 100 organes administratifs et décentralisés, leaders religieux et de communautés ont été sensibilisés à la violence sexiste
● Au moins 17 émissions ont été diffusées dans les médias publics sur la violence sexiste, les mutilations génitales féminines et la santé reproductive. Au moins 1 547 personnes ont été sensibilisées au travers de ces émissions
● Le document de stratégie nationale sur la violence sexiste et les mutilations génitales féminines a été finalisé
*Cette assistance a également été apportée comme suit:
- 2-3-1-[2] Améliorer la fourniture des services de santé, y compris par l'expansion des infrastructures et installations de santé;
- 2-3-2-[3] Appuyer les efforts internationaux effectués pour réaliser l'accès universel à des services de santé reproductive |